Le Quartier Nourricier

Les 5 ingrédients d'un quartier nourricier sont des éléments essentiels à son existence !

Retrouvez les explications détaillées de nos icônes

Territoire productif

◆ Planifier durablement les surfaces agricoles pour les protéger et les valoriser.

◆ Construire la ville sur la ville pour limiter l’étalement urbain.

◆ Dédier des espaces pour l’agriculture urbaine et affirmer son pouvoir catalyseur dans la prise en compte d’un système alimentaire de proximité.

◆ Repenser les relations villes-campagnes en créant des trames vertes productives.

◆ Inclure l’alimentation dans la planification municipale en changeant la réglementation en conséquence.

Des entreprises prospères et responsables

◆ Créer des réseaux de solidarité entre agriculteurs, artisans locaux, distributeurs et citoyens (p. ex. agriculture soutenue par la communauté).

◆ Encourager et soutenir le développement de pratiques responsables (p. ex. soutien financier, banques de terres pour l'agriculture à petite échelle biologique ou agroécologique).

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Un accès amélioré à des aliments de qualité

◆ Optimiser la localisation et le design des infrastructures alimentaires (p. ex. implanter des infrastructures alimentaires à proximité des milieux de vie).

◆ Optimiser le transport vers ces infrastructures (p. ex. faciliter les déplacements actifs).

◆ Améliorer l’offre alimentaire (p. ex. accroître la disponibilité de produits frais et de qualité dans les commerces et institutions publiques).

◆ Lutter contre l'insécurité alimentaire (p. ex. renforcer le pouvoir d'agir et d'achat des personnes).

Demande de proximité accrue

◆ Intégrer les aliments locaux dans les circuits traditionnels de distribution en vue de la consommation (p. ex. privilégier les producteurs régionaux en saison).

◆ Promouvoir des espaces de commercialisation de proximité (p. ex. consolider les initiatives de mise en marché de proximité).

◆ Éduquer au jardinage, à la cuisine et à l'alimentation responsable.

Cycle de vie optimisé (économie circulaire)

◆ Prévenir et réduire le gaspillage alimentaire de la terre à l'assiette (p. ex. optimiser les pratiques).

◆ Utiliser les aliments à leur plein potentiel (p. ex. partager les surplus alimentaires).

◆ Donner une nouvelle vie aux ressources alimentaires pour les gens (p. ex. transformation d'aliments déclassés, valorisation des sous-produits via l’économie circulaire).

◆ Donner une nouvelle vie aux ressources alimentaires pour les animaux.

◆ Transformer les matières organiques en ressources (p. ex. compostage, biométhanisation).